mercredi 16 novembre 2011

A Cannes, comme ailleurs pas de salariées sans droits, dans les entreprises !





Elles s'appellent Margarita, Aldina, Marcelina, Luisa, Lainira, Josepha, Isabelle, Anabelle... elles travaillent pour l'hôtellerie de luxe cannoise. Avec la CGT, elles ont dit stop : trop c'est trop ! Cette vie d'esclave moderne n'est plus possible. Il faut que cela cesse.